Depuis le
début de mes études sur l’enseignement, quelques principes se clarifient. D’abord,
l’instruction doit être flexible, et il faut que les enseignants soient
adaptable aux besoins des apprenants et de leurs divers styles d’apprentissage.
Il faut aussi souligner la vision de Popper,
qui mettait l’accent sur la valeur des erreurs aux processus de la construction
de la compréhension, dont la clé est l’illumination et l’élimination des
erreurs comme chemin de progrès.
Sur un plan
moins abstrait et plus matériel, j’ai bâti une appréciation aux visuels et aux
actions dans l’enseignement, par lesquels des apprenants deviennent plus
capable d’analyser ce qu’il faut.
Par
exemples, on pourra fournir aux élèves des livres d’images. La présence d’images,
d’abord, résonnera avec les apprenants visuels. Cela anime (hahaha), en outre,
le développement des bases fondamentaux à l’alphabétisme.
Alors, pourquoi
pas les bandes-dessinées et les romans graphiques ? Et, avec les séries comme
Astérix le Gaulois, il existe des opportunités pour trans-curriculaire (avec
les sujets comme les études sociaux).
Quant à l’instruction
des langues secondes, les images et les dialogues aident les anglophones à
identifier des mots et pogner le parler vernaculaire. Apres tout, les yeux
possedent pas leur propre langues. Elles voient une marmite, et en anglais c’est
un « pot », mais les yeux voient le même objet !
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